mardi 29 mai 2012

Wind of change - Berlín Wall

Le mur de Berlin - the wall 1962, une vidéo de grandmarquis 1960, 1961,...

Le Mur de Berlin dans l'Histoire




Le Mur de Berlin dans l'Histoire ( 1961-1989 )
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, dès 1947, l'Europe se divise en deux camps ennemis, avec la mise en place d'un «rideau de fer», de Lubeck jusqu'en Tchécoslovaquie et au-delà. L'ancienne capitale allemande, Berlin, est elle-même partagée entre les Occidentaux et les Soviétiques. 
Anglo-Saxons et Français craignent que le partage de la ville et du continent ne se pérennise. Leurs rivaux soviétiques veulent mettre la main sur l'ensemblee se cristallise le refus de l'Ouest d'accepter définitivement la partition de l'Allemagne et de l'Europe. Il n'y aurait jamais eu de mur de Berlin si les Américains et les Anglais n'avaient réagi avec vigueur au blocus de l'ancienne capitale du Reich !

Le Mur avant le Mur

Le 24 juin 1946, les Soviétiques, qui occupent Berlin-Est, coupent les communications terrestres entre l'enclave de Berlin-Ouest, répartie en secteurs anglais, américain et français, et l'Allemagne occidentale. La réussite du coup de force que représentait le blocus aurait signifié l'abandon par les alliés occidentaux de Berlin et son occupation par les Soviétiques. Mais, pendant près de onze mois, les Américains et les Anglais organisent un pont aérien pour ravitailler les Berlinois de l'Ouest.
Malgré 76 morts et un coût financier considérable pour les Occidentaux, le pont aérien finit par contraindre les Soviétiques à mettre fin au blocus, en avril 1949. La première raison de la construction du mur de Berlin tient donc à la détermination des Occidentaux à ne pas abandonner Berlin-Ouest aux Soviétique.
En 1950, le Land (région administrative) de Berlin-Ouest est intégré au sein de la nouvelle République fédérale d'Allemagne (RFA). Son statut d'enclave occidentale au milieu d'un territoire contrôlé par la RDA est ainsi conforté.
L'existence de Berlin-Ouest continue d'être insupportable pour les Soviétiques car les Allemands de l'Est y votent chaque jour «avec leurs pieds» en fuyant le régime soviétique. Il devient difficile de contrôler les 500.000 personnes qui traversent chaque jour la ligne de démarcation berlinoise, à pied ou par les réseaux de communication ferroviaire et métropolitain.
Berlin-Ouest est le principal espace de transit des Allemands de l'Est émigrant à l'Ouest. En 1958, déjà plus de trois millions d'Allemands de l'Est ont fui pour la RFA. Cette hémorragie humaine prive le pays de main-d'œuvre et montre à la face du monde la faible adhésion à la soviétisation de l'Allemagne de l'Est.
L'URSS tente un nouveau coup le 27 novembre 1958 en lançant un ultimatum exigeant le départ des troupes occidentales dans les six mois pour faire de Berlin une «ville libre» démilitarisée. Les alliés occidentaux refusent. En 1961, les Soviétiques prennent donc la décision de faire supprimer par la RDA la ligne de démarcation berlinoise en construisant un mur, qui deviendra «le mur de la honte».
Cette construction commence les 12 et 13 juin 1961 avec la pose de grillages et de barbelés autour de Berlin-Ouest. Puis les Soviétiques choisissent une date idéale pour faire exécuter leur oeuvre : le 13 août 1961, soit en plein pont estival pendant lequel nombre de de chefs d'État occidentaux sont en vacances.
La RDA annonce avoir l'agrément du pacte de Varsovie et présente la construction un «mur de protection antifasciste». Des unités armées de la RDA encerclent-elles Berlin-Ouest de façon hermétique et la construction du mur se réalise dans un temps record, ce qui signifie qu'il est le fruit d'une préparation longue et minutieuse.

Le mur est plus qu'un mur

Le mur est bordé de mines anti-personnelles, de pièges pour tanks, de barrières d'alarme... Au mur de 3,5 m de hauteur courant sur 155 km autour de Berlin-Ouest s'ajoutent ensuite les «murs» créés par la fermeture des réseaux de communication ferroviaire et métropolitain entre Berlin-Ouest et Berlin-Est.
Sur les 81 points de passage existant avant août 1961, 69 sont fermés dès le 13 août, par des barbelés et des murs de briques. Pour les visiteurs étrangers est assigné un point de passage unique situé dans Friedrich Strasse (Chekpoint Charlie), ouvert jour et nuit.
Les échanges économiques cessent entre les deux Berlin : 63 000 berlinois de l'Est perdent leur emploi à l'Ouest, et 10 000 de l'Ouest perdent leur emploi à Berlin-Est.
Pour faire face à cette nouvelle situation, de nombreux grands équipements concernant la culture (opéras), l'éducation (universités), les sciences (parcs zoologiques) sont dédoublés.
Les «passe muraille»
L'appel de la liberté reste constant tout au long des 28 ans de l'histoire du mur. Des milliers d'Allemands de l'Est tentent de le franchir au péril de leur vie. Au total, d'août 1961 au 8 mars 1989, 5 075 personnes réussissent à s'évader de l'Est pour Berlin-Ouest par divers moyens : escalade, mais aussi souterrains, voitures spécialement transformées, fuites à la nage sur la Spree... 588 personnes périssent dans cette tentative.

Le mur après le mur

En 1989, le gouvernement de la RDA ne parvient plus à enrayer l'émigration car celle-ci utilise un nouvel espace de transit, la Tchécoslovaquie, qui finit, sous la contrainte des milliers de voitures fuyant l'Est, par ouvrir ses frontières avec l'Autriche. Aussi le 9 novembre 1989, Günter Schabowski, membre du bureau politique, annonce-t-il la décision du gouvernement de RDA d'autoriser «les voyages privés à destination de l'étranger [...] sans aucune condition particulière».
Quelques heures plus tard seulement, les douaniers de Berlin ne parviennent plus à faire face à la demande et ne peuvent faire autrement de que de laisser simplement passer. Le mur est vaincu. Puis, fin 1989 et en 1990, le mur est démantelé à raison de 100 mètres en moyenne par nuit, avant l'organisation d'une démolition officielle qui se termine fin 1991. Six pans de mur sont conservés pour mémoire.
Toutefois, le mur demeure une cicatrice économique et humaine. Avant la guerre, Berlin était le plus gros et le plus innovant pôle économique et surtout industriel d'Allemagne. Puis Berlin-Ouest, en raison de son statut d'exception s'est retrouvé écartée de tous les secteurs d'entreprise innovants. À Berlin-Est, le système d'économie planifié socialiste, avec des entreprises étatisées et une organisation en grosses entreprises, entraîne déficience dans l'organisation et la rentabilité de l'économie.
Depuis 1990, Berlin, redevenu capitale allemande au détriment de Bonn, bénéficie de l'apport croissant d'administrations politiques nationales, de l'implantation d'institutions diverses, de l'installation de marques connues et surtout d'un essor touristique. Berlin a retrouvé ses «Champs Élysées», avec l'avenue Unter den linden (sous les tilleuls), artère Ouest-Est allant de la porte de Brandebourg jusqu'à la place du château (détruit et en voie de reconstruction).

jeudi 24 mai 2012


 Un figure historique dont je m’intéresse depuis toute petite !

 Quelle fut la vie de cette femme si enthousiaste
à l’idée de devenir Reine de France ?



Marie-Antoinette roseDès les premières années de son règne, Marie-Antoinette est une Reine aimée et le peuple marque son affection pour cette belle jeune femme à qui tout semble sourire.

« Vive la Reine ! »
Mais, peu à peu, les difficultés se font sentir, celles que Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette redoutait. Les premiers signes apparaissent au sein même de la famille royale. Puis, au fur et à mesure les rumeurs murmurent que Marie-Antoinette s’entoure de gens dont la vie hors de la Cour est un scandale. Contre toute attente, son confident n’est pas le Roi mais le Comte d’Artois, elle va même jusqu’à se moquer quelques fois de celui qui est son mari. Son engouement pour les bals, les opéras, les fêtes et autres plaisirs que l’on pourrait dire éphémères font que certains esprits raisonnables lui reprochent ses excès, sa « frivolité » et son manque de soin vis-à-vis de sa santé.



Marie-Antoinette jeune

« Que voulez-vous ? J’ai peur de m’ennuyer. »
Mais cet ennui continue, celui d’une femme qui est Reine mais pas encore une Mère.
C’est en 1778 que naît enfin Madame Royale, sa première fille, mais la succession n’est toujours pas assurée.
Ce n’est qu’en 1781 que naîtra son premier fils, le Dauphin.
Malgré cette naissance, la reine connaît encore des difficultés, elle déchante devant ses amitiés, et bien qu’elle se montre en public avec son enfant et qu’elle tente de retrouver l’enthousiasme du peuple, ses efforts sont vains, l’engouement du début s’est évaporé.

En 1785, son deuxième fils naît. Mais Marie-Antoinette n’est pas au bout de ses humiliations, c’est à peu près à cette époque que survient la fameuse « histoire du collier »,un procès maladroit et retentissant… Elle ne cherche pas pour autant à se faire oublier, mais la France se dirige peu à peu vers la Révolution, la machine est en route est plus rien ne pourra l’arrêter
« La légende qui conduit la Reine à l’échafaud est faite d’éléments divers. On y retrouve les gronderies de Mesdames […] les calomnies […] les épigrammes […] les infamies […] l’hostilité […] les rancunes … Marie-Antoinette elle-même, avec ses innocentes légèretés, ses plumes, ses diamants, sa Polignac, sa longue et innocente jeunesse… »
Les seuls reproches émis par les amis de la monarchie envers Marie-Antoinette auraient été peut-être d’avoir mal compris ses fonctions, mal mesuré les enjeux de la couronne et de Versailles, et surtout d’avoir fait passer ses divertissements, amitiés et plaisirs personnels au dépens de son rôle de Reine. Versailles, à l’époque de Louis XVI et Marie- Antoinette, est marqué par ses fêtes. Fêtes durant le règne mais aussi pour le sacre, le couronnement, l’intronisation … et autres occasions, à Versailles mais aussi à Paris. La naissance du Dauphin est amplement célébrée : festin, feu d’artifice, bal. Chaque occasion est bonne pour organiser des manifestations festives. Élégance et magnificence sont les maîtres mots de cette époque et ils survivent encore à travers les temps malgré l’épisode charnière de la Révolution française. Peu à peu pourtant Versailles est délaissé par la Cour.
Si l’on tente de percer les secrets de la vie intime de la Reine Marie-Antoinette, en étudiant avec précision ses rapports avec les personnes qui l’entourent, elle devient une femme profondément touchante. Dans les salons de la reine on dit que les conversations sont légères et que les matières sérieuses n’y trouvent pas leur place. Ce qui est au centre de tout reste pourtant la passion et l’amour que voue Marie-Antoinette au théâtre.

Marie-Antoinette et ses enfants

« Cette ressource commode des esprits superficiels »
La reine est sensible aux Arts en général : la musique, la littérature est cela ne la rend pas plus populaire.
Les rapports humains et certaines amitiés qu’elle entretient suscitent bien des réactions. Les hommes qui lui sont proches sont les suivants : le Comte d’Artois, Coigny, Polignac, d’Adhémar, Besenval, Vaudreuil ; en ce qui concerne les femmes on entendra souvent parler de : la princesse de Lamballe, puis l’autre favorite la comtesse puis duchesse de Polignac, née Yvonne de Polastron, de sa belle-sœur Diane de Polignac. C’est un penchant affectif pour un certain Fersen qui retient particulièrement l’attention, ses yeux trahissent ses sentiments, mais elle n’avouera jamais bien que ce soit peut-être le seul homme que Marie-Antoinette ait aimé dans sa vie de femme, mort durant une émeute à Stockholm. Le premier homme de la reine reste le Roi, Louis XVI, le souverain, le mari, le père, un Roi qui dans sa manière d’être est plus proche de l’ouvrier que du souverain. Malgré maintes événements : humiliations, trahisons, silence et sacrifice, la reine reste en proie à la fatalité, après la mort d’une de ses filles à 11 mois, c’est au tour de son aîné de dépérir peu à peu jusqu’à la mort. La femme est touchée au plus profond de son cœur de mère et dès lors rien ne pourra changer.
Comment aborder l’Histoire de celle qui fut Reine sans évoquer le lieu mythique du Trianon.


Le Trianon

« Le repaire des débauches de l’Autrichienne »
...comme le qualifie certains.
Mais le Trianon a son histoire, notamment avec Louis XVI, celle d’avant qu’il fut donné à Marie-Antoinette. Le Trianon, est pour la Reine un lieu intime et paradoxalement un endroit de spectacles, de fêtes et de rencontre. C’est précisément là que la Reine passe ses journées, se promène, se divertit. C’est un lieu magique et merveilleusement décoré, meublé ; c’est aussi l’antre des fêtes nocturnes et du théâtre, où s’adonne Marie-Antoinette, de part l’organisation de représentation, de rencontre entre comédiens… simplement par passion et par envie. Elle-même sera parfois actrice, applaudie par le Roi lui-même.
« Quelle jolie salle que celle de Marie-Antoinette, en son éclat neuf et pimpant comme une toilette de bal du XVIIIe siècle »
Seulement après la construction du hameau (une volonté de retour à la nature), un véritable village dont le hameau dit de la Reine reste partie la plus visitée inspira nombre de fables et légendes. Les dernières années du Trianon s’amorcent. L’abandon l’attriste, la ruine la touche et arrive à grand pas l’heure de sa dernière visite, et les terribles journées d’octobre… Les émeutes révolutionnaires se déclenchent, le peuple s’agite…
«  A mort l’Autrichienne ! Où est la gueuse, qu’on lui torde le cou ? » […] « Soit, dit-elle, serait-ce ma mort, j’y vais » […] Marie-Antoinette vient d’apprendre à ne plus craindre la mort. »
La famille royale est escortée vers Paris par le peuple triomphant.

execution de Marie-Antoinette

« Au bout de la route du 6 octobre, il y a la Révolution. Il y a la première prison, les Tuileries…»

Le 16 octobre 1793, la Reine Marie- Antoinette est acclamée par le peuple, elle s’avance sur la charrette, assise sur une planche, les mains liées par le bourreau. Elle coupe elle-même ses cheveux blanchis, les yeux rougis. Elle se souvient peut-être à cet instant du passé, de ce que fut sa vie… Sa tête tombe.
« Un aide montre la tête coupée, qui bat des paupières … On crie : « Vive la République ! » Mais la grande foule reste silencieuse. Le peuple se demande déjà ce qu’a gagné la République à tuer cette femme. »

Gang of Four - Natural's Not In It (The Rakes remix)



The problem of leisure
What to do for pleasure
The body is good business
Sell out, maintain the interest
Ideal love a new purchase
A market of the senses
Dream of the perfect life
Economic circumstances
Ideal love a new purchase
A market of the senses
Remember Lot's wife
Renounce all sin and vice
Dream of the bourgeois life
This heaven gives me migraine

Coercion of the senses
We are not so gullible
We all have goo intentions
But all with strings attatched

Fornication makes you happy
No escape from society
Natural is not in it
Your relations are of power
We all have good intentions
But all with strings attached
The problem if leisure
What to do for pleasure

Repackaged sex, your interest
Repackaged sex, your interest
Repackaged sex, your interest
Repackaged sex, your interest
Repackaged sex, your interest
Repackaged sex, your interest

The problem of leisure
What to do for pleasure
The body is good business
Sell out, maintain the interest
Dream of the perfect life
Economic circumstances
Ideal love a new purchase
A market of the senses
Remember Lot's wife
Renounce all sin and vice
Dream of the bourgeois life
This heaven gives me migraine
This heaven gives me migraine
This heaven gives me migraine