Il représente le volcan de la Fournaise en rouge, tandis que le bleu symbolise le ciel et le jaune les rayons du soleil. Ces trois couleurs symbolisent également la force, la douceur et la clarté. Venus du monde entier les Réunionnais sont tournés vers le monde. Ce drapeau se veut une valeur identitaire réunionnaise, il ne s’oppose ni au drapeau français, ni au drapeau européen, il en est le complément et le contrepoint régional.”
De Diva Morgabin à La Réunion
Il semble que les Arabes aient été les premiers à découvrir l’archipel des Mascareignes. Ils nomment les trois îles situées à l’Est de Madagascar Diva Morgabin ou l’île couchant (probablement la Réunion) Diva Arobi et Diva Moraze.Les premiers européens à apercevoir l’île sont des Portugais. Le pilote Diego Fernandez Pereira la baptise Santa Apolonya le 4 février 1507, jour de la Sainte Appoline. Mais c’est en 1520 que l’archipel prend le nom de Mascarenhas, du nom de l’amiral Pedro de Mascarenhas. Plus tard, le nom de Mascarin, Mascarène ou Mascareigne sera attribué à La Réunion.
Au XVIIe siècle, les Anglais accostent l’île et l’appellent England forest ou Pearl Island.
En 1649, le commandant de Fort - Dauphin, Etienne de Flacourt, fait prendre possession de l’île au nom du Roi, et la nomme Ile Bourbon.
Le 8 avril 1794, sous la Première République, Bourbon est changé en Ile de La Réunion.
Sous l’empire, elle prend le nom d’Ile Bonaparte, d’abord à la demande populaire des Réunionnais, le 15 août 1806, ensuite par un arrêté impérial du 2 février 1809.
Durant l’occupation anglaise de 1810 à 1815, l’île reprend le nom "Bourbon".
Sous la deuxième République, un décret du Gouvernement Provisoire en date du 7 mars 1848, proclamé dans l’île le 22 juillet 1848, redonne à Bourbon son nom révolutionnaire d’Ile de La Réunion. Ce sera la dernière dénomination adoptée jusqu'à ce jour.
Découverte de l'île
LES PREMIERS COLONS
Certainement connue des navigateurs arabes, l’île de La Réunion fut découverte par des marins portugais au XVIe siècle. Pedro Mascarenhas, amiral de la flotte portugaise, laissa son nom à l’archipel des Mascareignes et en particulier à La réunion qui fut, jusqu’au début du XIXe siècle , surnommée par les marins « Mascareigne » ou « Mascarin ».
En 1638, le navire Saint-Alexis accoste l’île et son capitaine en prend possession au nom du roi de France, Louis XIII. De 1646 à 1649, l’île, concédée par Richelieu à la première Compagnie de Indes Orientales, accueille ses premièrs habitants : une douzaine de mutins exilés de Madagascar. Et c’est en 1649, que le capitaine Lebourg est envoyé par le commandant de Fort-Dauphin, Etienne de Flacourt, pour prendre à nouveau possession de l’île (au lieu dit la Possession) et la baptiser « Ile Bourbon ».
L’occupation définitive de Bourbon débute en 1663, avec l’arrivée de deux Français et dix Malgaches. Le groupe est rejoint, deux ans plus tard, par une vingtaine de colons, installés sur l’île par la nouvelle Compagnie des Indes Orientales. La colonisation se fera avec lenteur et difficulté pour les premiers habitants.
LES PREMIERS COLONS
Certainement connue des navigateurs arabes, l’île de La Réunion fut découverte par des marins portugais au XVIe siècle. Pedro Mascarenhas, amiral de la flotte portugaise, laissa son nom à l’archipel des Mascareignes et en particulier à La réunion qui fut, jusqu’au début du XIXe siècle , surnommée par les marins « Mascareigne » ou « Mascarin ».
En 1638, le navire Saint-Alexis accoste l’île et son capitaine en prend possession au nom du roi de France, Louis XIII. De 1646 à 1649, l’île, concédée par Richelieu à la première Compagnie de Indes Orientales, accueille ses premièrs habitants : une douzaine de mutins exilés de Madagascar. Et c’est en 1649, que le capitaine Lebourg est envoyé par le commandant de Fort-Dauphin, Etienne de Flacourt, pour prendre à nouveau possession de l’île (au lieu dit la Possession) et la baptiser « Ile Bourbon ».
L’occupation définitive de Bourbon débute en 1663, avec l’arrivée de deux Français et dix Malgaches. Le groupe est rejoint, deux ans plus tard, par une vingtaine de colons, installés sur l’île par la nouvelle Compagnie des Indes Orientales. La colonisation se fera avec lenteur et difficulté pour les premiers habitants.
La culture du caféier
Dans la seconde décennie du XVIIIe siècle et sous l’impulsion du ministre des finances John Law, la Compagnie des Indes décide de mettre l’île en valeur en développant la culture du caféier. Le café est en grande vogue à Paris et en Europe.
Deux variétés sont cultivées par les habitants, le Moka, introduit par les Malouins en 1715, et le Bourbon, café indigène découvert vers 1710. Les plantations recouvrent les pentes de l’île jusqu'à une altitude moyenne de 40 m et les productions sont croissantes (125 t en 1727, 1250 t en1744). La commercialisation est assurée par la compagnie.
Le développement économique de Bourbon s’accompagne d’une augmentation de la population blanche mais surtout servile (plus de 25 000 habitants vers 1770). L’équipement de l’île se poursuit (magasins, ponts, débarcadères, etc) et la colonisation gagne l’Est et le Sud.
Mais cette prospérité ne dure pas. Les exportations croissantes de café par les arabes et les Antillais concurrencent les productions locales. La compagnie des Indes éprouve des difficultés à écouler « le café bourbon » et les prix s’effondrent ; De plus, la production pays chute du fait des ravages d’un puceron dans les caféières. La perte des comptoirs indiens en 1763 oblige la Compagnie des Indes à rétrocéder l’île à l’administration royale l’année suivante.
Dans la seconde décennie du XVIIIe siècle et sous l’impulsion du ministre des finances John Law, la Compagnie des Indes décide de mettre l’île en valeur en développant la culture du caféier. Le café est en grande vogue à Paris et en Europe.
Deux variétés sont cultivées par les habitants, le Moka, introduit par les Malouins en 1715, et le Bourbon, café indigène découvert vers 1710. Les plantations recouvrent les pentes de l’île jusqu'à une altitude moyenne de 40 m et les productions sont croissantes (125 t en 1727, 1250 t en1744). La commercialisation est assurée par la compagnie.
Le développement économique de Bourbon s’accompagne d’une augmentation de la population blanche mais surtout servile (plus de 25 000 habitants vers 1770). L’équipement de l’île se poursuit (magasins, ponts, débarcadères, etc) et la colonisation gagne l’Est et le Sud.
Mais cette prospérité ne dure pas. Les exportations croissantes de café par les arabes et les Antillais concurrencent les productions locales. La compagnie des Indes éprouve des difficultés à écouler « le café bourbon » et les prix s’effondrent ; De plus, la production pays chute du fait des ravages d’un puceron dans les caféières. La perte des comptoirs indiens en 1763 oblige la Compagnie des Indes à rétrocéder l’île à l’administration royale l’année suivante.
De l'esclavage à nos jours
ESCLAVAGE. COLONIE. DEPARTEMENT
ESCLAVAGE. COLONIE. DEPARTEMENT
L’ESCLAVAGE : « CODE NOIR » - MARRONAGE ET ABOLITION
Le développement agricole de Bourbon au XVIIIè siècle rend nécessaire une importation massive de main-d’œuvre . La situation géographique de l’île et les coutumes de l’époque conduisent les colons à importer des esclaves, de madagascar dans un premier temps ensuite d’Afrique . Le comportement abusif des maîtres envers leurs esclaves pousse le Roi Louis XV à adopter un texte d’ensemble définissant le statut de l’esclave (à Bourbon et à l’île de France) et visant à le protéger. L’édit de 1723 s’inspire du Code Noir élaboré à partir de la situation des Antilles.
Certains esclaves, en général des Malgaches, épris de liberté s’enfuient dans les bois et surtout dans les hauts de l’île. Ils ont appelés « marrons ». Afin que ce mouvement reste limité, le Conseil Supérieur de Bourbon ordonne, dès 1725, la mise à mort des fugitifs qui refusent de se rendre. Des expéditions punitives sont menées contre les fuyards. En 1729, un règlement est établi pour organiser les poursuites de fugitifs.
Des bandes de "marrons" s’organisent et viennent, la nuit, piller les maisons isolées. La population craintive se barricade dès la tombée de la nuit, surtout quand elle apprend que les colons ont été assassinés.
L’évolution de l’opinion nationale et internationale, et surtout la révolution de 1848, conduisent les membres du Gouvernement Provisoire de la Seconde République à abolir l’esclavage le 27 avril 1848. Le procureur de la République, Sarda Garriga, arrivé à Saint Denis en octobre 1848, proclame l’application du décret d’abolition dès le 19 octobre. Il fixe la date effective d’émancipation des 62 000 esclaves réunionnais au 20 décembre 1848.
L’AGE D’OR D’UNE COLONIE SUCRIERE
Après une brève prise de possession anglaise (de juillet 1810 à mai 1814), c’est une île à l’économie désastreuse qui est récupérée par la France. Depuis la perte de l’île de France (Maurice), Bourbon demeure la seule base française dans l’ouest de l’océan Indien. La pénurie de sucre que connaît alors la France (car elle a également perdu Saint-Domingue), incite les colons à cultiver la canne à sucre. On convertit les caféières de Bourbon en champs de canne et de nouvelles terres sont défrichées.
Cette mutation entraîne la disparition des cultures vivrières mais surtout l’apparition des grandes propriétés. L’absence de voies de communication aisément praticables par des transports de masse, oblige chaque propriétaire à construire son moulin à sucre, augmentant ainsi l'investissement à effectuer (on compte 189 moulins en 1830). L’extension de la culture de la canne est rapide et la production passe de 9 000 T en 1825 à 22000 T en 1845.
En 1848, la Deuxième République conduit à l’abolition définitive de l’esclavage dans l’île. Bourbon reprend alors le nom de Réunion (qui lui avait été attribué en 1794, après la Révolution). Le besoin de main-d’œuvre bon marché et docile pour la monoculture de la canne, pousse les propriétaires à importer des travailleurs indiens . De 1848 à 1860, la production de canne passe de 30 000 T à 73 000 T sur 100 000 ha.
De 1860 à 1870, la production, concurrencée par le sucre de betterave en France, chute du fait d’une série de calamités naturelles (cyclones, épidémies ...), jusqu'à atteindre 25 000 T. Après une légère reprise de l’économie, les cours du sucre s’effondrent au début du XXe siècle.
DE LA COLONIE AU DEPARTEMENT
Ces difficultés contraignent les Réunionnais à diversifier leur production agricole. C’est la relance de cultures en déclin (café, girofle, vanille ....)et l’introduction de nouvelles cultures, notamment pour l’extraction des huiles essentielles (vétiver, ylang - ylang, géranium), dans les hauts de l’île. La production de géranium passe de 10 T en 1890 à 60 T en 1910, faisant de La Réunion le premier producteur mondial.
Malgré ces efforts, l’économie réunionnaise du début du Xxe siècle reste fragile. Le redressement amorcé vers 1920 fut interrompu par la seconde guerre mondiale. Au lendemain de celle-ci, la colonie souffre d’une situation économique et sociale difficile. Alors que certaines colonies françaises rêvent d’indépendance, à la suite de la déclaration du Général de Gaulle à la conférence de Brazzaville sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, La Réunion tient à se rapprocher de la mère patrie.
Le projet de départementalisation présenté à l’Assemblée par les députés Léon de Lepervanche, Raymond Vergès, Gaston Monnerville, Félix Eboué et Bissel est adopté à l’unanimité.
La loi du 19 mars 1946 transforme La Réunion, les Antilles et la Guyane en départements français d’outre-mer. Le premier Préfet de La Réunion, Paul Demange, est nommé le 20 juillet 1947. Il remplace le Gouverneur Capagorry le 15 août 1947.
Le peuplement
LES PREMIERS REUNIONNAIS
En novembre 1663, deux Français, (Louis Payen et probablement Pierre Pau) accompagnés de 10 Malgaches (7 hommes et 3 femmes), s’installent dans l’île. C’est le début d’une véritable colonisation. En juillet 1665, une flotte de la Compagnie des Indes Orientales conduit une vingtaine de colons à Bourbon.
Le premier village est construit à Saint-Paul sous le commandement d’Estienne Regnault tandis que l’exploration de l’île se poursuit. Pendant cinquante ans, la population n’augmente que très lentement.
LE RECOURS A LA MAIN D’ŒUVRE SERVILE
Le développement de la culture du café conduit les colons à importer des esclaves. Le mouvement s’amplifie au XVIIIe, sous l’impulsion des gouverneurs Dumas et La Bourdonnais. Très vite le nombre des esclaves dépasse celui de la population libre. Le recensement de 1761 comptabilise 17 906 noirs pour une population totale de 22 300 personnes.
LE RECOURS AUX « ENGAGES »
L’abolition de l’esclavage (1848) amène les colons à recourir aux travailleurs engagés. Leur recrutement, qui avait débuté en 1827 (à l’époque, organisé comme la traite des esclaves), va se développer en 1861. Une convention anglaise du 1er juillet 1861 autorise le recrutement des Indiens moyennant certaines obligations pour l’employeur, tel le rapatriement en Inde au bout de cinq ans.
117 813 immigrants arrivent à La Réunion jusqu’en 1885. Mais les mauvaises conditions de travail de ces engagés conduisent le Gouvernement Général de l’Inde à dénoncer la convention en 1884. Le système des engagés va cependant, se poursuivre avec des Africains et des malgaches.
LES IMMIGRES VOLONTAIRES
Certains Asiatiques et Musulmans immigrent spontanément à La Réunion. Les Chinois, venus de Canton, à partir de 1871 s’installent à Saint Denis puis dans toute l’île. Ils se consacrent au commerce de détail (boutiquiers). Les Indiens musulmans, originaires de la province du Gujerat (Nord - ouest de l’Inde), arrivent entre 1800 et 1900. Ils ouvrent des commerces d’étoffes et de quincaillerie.
LES ORIGINES ETHNIQUES ET LES RELIGIONS
Les créoles blancs, des Français et quelques Européens sont installés depuis plusieurs générations à La Réunion. On distingue parfois les « gros blancs » et des « petits blancs ». Les premiers, grands propriétaires terriens sont installés sur le littoral ; les seconds, des petits planteurs habitent les hauts de l’île (souvent dans la zone sud). Ils sont en général catholiques.
LES METIS ET CAFRES
Les cafres (de l’arabe kafir) viennent du Mozambique. D’autres noirs sont originaires de Guinée et du Sénégal. Souvent métissés avec les blancs, ils forment la plus grande partie de la population réunionnaise. Ils sont également catholiques.
LES « MALABARS »
Ils viennent de l'Inde et des côtes de Coromandel. De religion tamoule, certains sont également catholiques. Leur grand nombre en fait une particularité de la population réunionnaise, comparée à celle d’autres départements français d’outre - mer.
LES « ZARABES »
Ce sont les indiens venus de la province du Gujerat. Ils sont surtout installés dans les villes. Ce sont des musulmans très pratiquants.
LES CHINOIS
Originaires de Canton, ils sont arrivés en même temps que les indiens musulmans. Ce sont en général des catholiques. Certains sont pourtant restés bouddhistes.
LE RESTE DE LA POPULATION
Elle est composée de Malgaches, de Comoriens et de « z’oreils » (Français de métropole). Hormis les Comoriens qui sont musulmans, les autres sont en général chrétiens.
LES PREMIERS REUNIONNAIS
En novembre 1663, deux Français, (Louis Payen et probablement Pierre Pau) accompagnés de 10 Malgaches (7 hommes et 3 femmes), s’installent dans l’île. C’est le début d’une véritable colonisation. En juillet 1665, une flotte de la Compagnie des Indes Orientales conduit une vingtaine de colons à Bourbon.
Le premier village est construit à Saint-Paul sous le commandement d’Estienne Regnault tandis que l’exploration de l’île se poursuit. Pendant cinquante ans, la population n’augmente que très lentement.
LE RECOURS A LA MAIN D’ŒUVRE SERVILE
Le développement de la culture du café conduit les colons à importer des esclaves. Le mouvement s’amplifie au XVIIIe, sous l’impulsion des gouverneurs Dumas et La Bourdonnais. Très vite le nombre des esclaves dépasse celui de la population libre. Le recensement de 1761 comptabilise 17 906 noirs pour une population totale de 22 300 personnes.
LE RECOURS AUX « ENGAGES »
L’abolition de l’esclavage (1848) amène les colons à recourir aux travailleurs engagés. Leur recrutement, qui avait débuté en 1827 (à l’époque, organisé comme la traite des esclaves), va se développer en 1861. Une convention anglaise du 1er juillet 1861 autorise le recrutement des Indiens moyennant certaines obligations pour l’employeur, tel le rapatriement en Inde au bout de cinq ans.
117 813 immigrants arrivent à La Réunion jusqu’en 1885. Mais les mauvaises conditions de travail de ces engagés conduisent le Gouvernement Général de l’Inde à dénoncer la convention en 1884. Le système des engagés va cependant, se poursuivre avec des Africains et des malgaches.
LES IMMIGRES VOLONTAIRES
Certains Asiatiques et Musulmans immigrent spontanément à La Réunion. Les Chinois, venus de Canton, à partir de 1871 s’installent à Saint Denis puis dans toute l’île. Ils se consacrent au commerce de détail (boutiquiers). Les Indiens musulmans, originaires de la province du Gujerat (Nord - ouest de l’Inde), arrivent entre 1800 et 1900. Ils ouvrent des commerces d’étoffes et de quincaillerie.
LES ORIGINES ETHNIQUES ET LES RELIGIONS
Les créoles blancs, des Français et quelques Européens sont installés depuis plusieurs générations à La Réunion. On distingue parfois les « gros blancs » et des « petits blancs ». Les premiers, grands propriétaires terriens sont installés sur le littoral ; les seconds, des petits planteurs habitent les hauts de l’île (souvent dans la zone sud). Ils sont en général catholiques.
LES METIS ET CAFRES
Les cafres (de l’arabe kafir) viennent du Mozambique. D’autres noirs sont originaires de Guinée et du Sénégal. Souvent métissés avec les blancs, ils forment la plus grande partie de la population réunionnaise. Ils sont également catholiques.
LES « MALABARS »
Ils viennent de l'Inde et des côtes de Coromandel. De religion tamoule, certains sont également catholiques. Leur grand nombre en fait une particularité de la population réunionnaise, comparée à celle d’autres départements français d’outre - mer.
LES « ZARABES »
Ce sont les indiens venus de la province du Gujerat. Ils sont surtout installés dans les villes. Ce sont des musulmans très pratiquants.
LES CHINOIS
Originaires de Canton, ils sont arrivés en même temps que les indiens musulmans. Ce sont en général des catholiques. Certains sont pourtant restés bouddhistes.
LE RESTE DE LA POPULATION
Elle est composée de Malgaches, de Comoriens et de « z’oreils » (Français de métropole). Hormis les Comoriens qui sont musulmans, les autres sont en général chrétiens.
petite leçon d'histoire sur nos origines :-) tu as bien fait de mettre ça sur ton blog ^^
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